Un ouvrage qui s'attache au patois et aux habitudes locales du Pays de Retz d'autrefois et illustré de quelques photos authentiques de Pierre Fréor (père), du Fonds Fréor des Historiens du Pays de Retz.
C'est à partir d'un voyage effectué par un lointain ancêtre, le « pseudo-héros Aristide », disait-on dans la famille, pour voir un cousin adjoint au chef de gare de la Loupe, que l'auteur n'ayant pourtant que peu de connaissance de l'événement a voulu élargir l'histoire avec l'intention d'être drôle.
Pourquoi cette intention ? Il est pour cela deux raisons : la première c'est que l'auteur a cherché par amusement mais surtout par tendresse à rendre hommage au langage très « fleuri » et si campagnard qu'employait sa grand-mère native de Rouans en plein pays de Retz. La seconde raison c'est d'avoir voulu témoigner de la vie simple des paysans de cette région, si proche de leurs terres et de leurs bêtes, avec leurs coutumes assez naïves mais aussi touchantes, en la méconnaissance des habitudes citadines. C'est pourquoi la narration humoristique est facile et pourtant bien proche de la réalité historique de la campagne, aux environs de l'année 1950.
Albert Blanchard vit à St Jean de Boiseau (44). Il écrit depuis 18 ans. Il s'est spécialisé dans la Poésie et l'écriture de Nouvelles. Notamment en Poésie où il a obtenu des Prix, tels ceux attribués par la Société Académique de Nantes et des Jurys Nationaux et Internationaux.
Une nouvelle à thème a obtenu le Prix du président de la société Regards à Nevers.
Albert Blanchard s'est aussi consacré à l'écriture de ses mémoires d'enfant pendant la Seconde Guerre Mondiale.